« ARRIVER LA-HAUT un matin d’été après que, la nuit, un orage a lavé le ciel et la terre, s’arrêter en silence pour regarder, et demeurer sous le charme parce que la beauté est telle que le regard ne sait où se poser, et on en a le souffle coupé.
Rester ici jusqu’au couchant à écouter en silence la montagne raconter des légendes, des histoires de bergers, d’alpinistes, de guerre. »