« Le petit caporal avait pris le commandement des quelques rescapés et Barbasecca le suivait avec son fusil-mitrailleur. Ils parvinrent ainsi au dernier combat. “Allons-y”, dit le petit caporal, ce matin-là. Et il tomba lui aussi.
Quatre ans plus tard sa famille reçut un communiqué : “… est porté disparu en date du 26 janvier 1943”.
… Il était timide, il parlait peu, il avait peur, il n’était pas fait pour être officier, il lisait de la poésie. »
« Lire Mario Rigoni Stern, c’est s’abreuver à la beauté… »
Martine Laval, Télérama