On dit que les histoires d'amour finissent mal en général. Sandro l'apprend à ses dépens le jour où il retrouve, au pied de son immeuble, sa collection de vinyles éparpillée au milieu de ses effets personnels. Sandro entreprend alors un voyage en Italie en compagnie de son fils Marino affublé, en plein été, d'une panoplie de Youri Gagarine, casque compris.