« JE VOUDRAIS DIRE merci à ma mauvaise mémoire, à ma neurasthénie, à ma cafetière, à ma fenêtre et à mon lit sans qui tout ceci n’aurait pas été possible. Merci à mon enfance, à la mort coquine et aux matins ventrus. Aux grands-mères et aux animaux de compagnie, aux clopes et aux vins, à Shakespeare, à l’automne
et aux trains. »